Agence WEX

Auteur/autrice : olivier

  • Pas besoin d’UX en ecommerce B2B ! Vraiment ?

    4 légendes urbaines à propos du e-commerce B2B et de l’UX

    En B2B, les entreprises ont tendance à négliger les apports de l’UX pour mettre en œuvre leur stratégie numérique. A l’heure où de plus d’achats entre entreprises se font en ligne, c’est une erreur de penser cela. Nous vous présentons ici 4 légendes urbaines qui montrent pourquoi.

    D’ici 2025, le ecommerce B2B devrait croitre encore de 25% en France d’après une étude de la FEVAD/ Les Enjeux Innovation.

    C’est une progression énorme qui montre que les achats en ligne entre les entreprises vont prendre une importance prépondérante si l’on suit la même courbe que celle du ecommerce B2C.

    Une croissance qui devrait, en principe, alerter les directeurs et directrices emarketing et digital de soigner leur expérience client en ligne. Or, peut-être que, hormis pour les pure player, il ne semble pas que cet enjeu ai été pris en compte à sa juste hauteur, alors que dans le même temps, pour ce qui concerne le B2C, l’expérience vécue en ligne devient plus prépondérante que l’attachement à la marque (lire notre étude) dans l’acte d’achat.


    📜 PREMIÈRE LÉGENDE

    La plupart des achats se font sur desktop, pas besoin de s’occuper du mobile

    FAUX !

    Faux et même très faux, dans certains cas, ainsi que l’expliquait Laurence Beauregard, Directrice digital et data de Saint-Gobain lors de la journée Innovation B2B, organisée par Next Content à Paris le 2 février. Dans plusieurs filiales d’un groupe qui compte plus de 370,000 clients, le taux de transformation sur mobile est parfois plus élevé que sur desktop.

    Même avis du côté de Mano Mano, la startup qui monte, qui monte, puisque, selon Anaïs Lesueur, VP Customer & Strategic Marketing, la part du mobile dans les ventes a plus que doublé depuis le démarrage de la société.

    Chez Mano Mano, la part du mobile a doublé

    Certes, le desktop, reste majoritaire dans de nombreux secteurs, mais il ne faut pas négliger les évolutions en cours :

    • Les commerciaux de terrain utilisent de plus en plus leur mobile pour passer leurs commandes
    • Commander en mobile pour un artisan, un agriculteur, est devenu chose normale, car c’est le terminal qu’ils ont toujours sur eux
    • De nombreux clients ont des comportements proches du particulier et le mobile est leur outil naturel de connexion à Internet

    Il faut donc s’intéresser à l’UX de vos canaux numériques au regard de votre clientèle et anticiper ses comportements. Nul doute que dans la majorité des cas, tant que les parcours d’achats ne sont pas compliqués, le mobile prendra une part croissante.

    Part des ventes ecommerce dans l’activité de différentes entreprises en B2B

    📜 DEUXIÈME LÉGENDE

    On peut faire la même ergonomie pour un site web B2B que pour un site B2C

    FAUX !

    Certes, les acheteurs en B2B sont aussi des clients en B2C et il est pertinent d’adopter les parcours utilisateurs du B2B dans le cas de gros catalogues avec de la vente au détail. Mais dans le B2B, les parcours sont parfois plus compliqués, avec des mode de paiement différents (leasing, facturation), mais aussi des modes de commandes différents, sans compter que parfois, l’achat ne se termine pas en ligne.

    Alors, si la vente au détail ne présente plus beaucoup de pièges en design d’interface, c’est nettement moins le cas pour la vente en gros, le conseil ou la génération de leads.

    Les nombreux audits utilisateurs que nous avons réalisés toutes ces dernières années montre que, si les français s’en sortent plutôt très bien avec des parcours ecommerce classique, c’est nettement moins le cas avec des parcours moins conventionnels.

    👉 A relire, mon post sur les comportements des français en ligne en 2022 : https://www.linkedin.com/posts/oliviersauvage_bilan-ux-2022-activity-7024300437377830912-p4Jr?utm_source=share&utm_medium=member_desktop

    D’où la nécessité impérieuse de redoubler de vigilance et de mettre deux fois plus d’effort dans la conception d’interfaces lorsqu’il s’agit de B2B où, comme je l’ai déjà dit, les usages, les pratiques, les besoins sont bien plus divers et variés que dans le B2C.

    À écouter : interview de Bertrand Libéral à propos de la refonte de Trenois.com, leader national de la quincaillerie en ligne pour les pros


    📜 TROISIÈME LÉGENDE

    L’utilisateur, on s’en fiche, de toute façon, c’est le commercial qui prend la commande

    VRAI ET FAUX !

    Comme le rappelait Nicolas de Pommerol, Directeur Stratégie et Innovation de Pomona, lors des Enjeux Innovation B2B, la plupart des commandes sont encore prises sur le terrain par des commerciaux (80% pour Pomona). Certes, ce ne sont pas les clients finaux qui utilisent l’interface de commande, mais ça ne veut pas dire que l’on peut se passer d’UX pour les outils de prise de commande. Bien, au contraire !

    Deux constatations qui prônent pour une bonne UX :

    Vos collaborateurs sont des pros, mais se comportent en ligne comme des particuliers

    Il faut considérer ceux-ci comme des particuliers, formés au numérique par les usages du web, et devenus aussi exigeant en la matière que les clients particuliers en B2C. Aujourd’hui, un professionnel n’accepte plus de travailler sur des outils dont l’ergonomie n’aura pas été soignée et portée au même niveau que la plupart des applications et des sites grand publics, où l’effort en UX a été continu depuis des années.

    Penser qu’ils apprendront à se débrouiller, ou qu’une bonne formation suffira à leur mettre le pied à l’étrier est une erreur. Les interfaces que vous leur mettrez entre les mains doivent désormais avoir le même niveau d’ergonomie que les interfaces grand publics.

    Une demande croissante de self-service de la part des clients pro

    La tendance est de toutes manières au self-service. Même si il y aura toujours en B2B des forces de ventes pléthoriques sur le terrain, il est probable que de plus en plus de commandes seront passées sur des applis ou des sites ecommerce. C’est logique, puisqu’il il est d’aucun intérêt de demander à un agent commercial de passer chez un client pour faire une recommande d’un produit déjà acheté ou bien de le faire se « déplacer » (je mets entre guillemets ce terme, car quand je dis « déplacer », cela peut être en visio) pour des montants et des produits qui n’impliquent aucune complexité dans la prise de commande.

    A lire aussi ailleurs :

    👉 B2B vs. B2C Websites: Key UX Differences (un article pas tout neuf, mais qui rappelle quelques points importants)

    👉 UX : 4 erreurs courantes des sites B2B et comment les corriger !

    👉 How B2B Sales Help Us Understand Our Role As UX Designers Better


    📜 QUATRIÈME LÉGENDE

    Nous ne faisons pas de transaction en ligne, donc l’UX, ça n’est pas très important

    FAUX !

    70% des prospects pensent qu’il est important d’avoir de l’info en ligne avant d’être engagé

    Si toutes les commandes ne passent pas par le Web, il n’en reste pas moins que tous les clients se renseignent désormais en amont sur le Web. C’est ce qui ressort de la récente étude Adobe/Forrester : 70% des prospects pensent qu’il est important d’avoir de l’info en ligne avant d’être engagé.

    Deux raisons pour faire de l’UX, même sur un site non transactionnel

    On nous demande souvent pourquoi faire de l’UX quand un site est purement informatif. Eh bien, pour pas mal de raisons, en fait !

    • Beaucoup de sites B2B ont été faits à une époque où leur plus-value n’était pas perçu par les entreprises. On faisait un site web pour faire un site web, parce qu’il fallait en avoir un et qu’il fallait faire comme tout le monde, mais sans en comprendre l’intérêt stratégique.
    • La plupart de ces sites ont donc été faits sans grande réflexion, les concepteurs s’occupant surtout de créer une bonne arborescence optimisée pour le SEO (parfois jusqu’à en friser le ridicule) fourrant chaque page d’un maximum de contenus, sans vraiment se préoccuper de l’UX

    Mais le comportement des acheteurs a changé. Ils se renseignent énormément sur le Web avant d’acheter. Et, si le produit ou le service pèsent évidemment beaucoup dans la balance décisionnelle, il n’en reste pas moins que si :

    • ceux-ci sont mal présentés,
    • difficiles à trouver,
    • trop compliqués à lire,
    • pas assez « sexy » (oui, sexy),

    … vos utilisateurs pourraient bien aller voir ailleurs, là où les choses sont mieux faites.

    Ceci est dû à la même raison que vos commerciaux de terrain exigent des applicatifs dont l’ergonomie est au niveau d’un Netflix ou d’un Gmail : parce que vos acheteurs ou futurs clients sont éduqués aux sites mainstream sgrand public dont l’ergonomie a été peaufinée et améliorée depuis des années. Se retrouver face à un dinosaure numérique leur donnera la même impression que d’avoir face à soi un commercial en fin de carrière plus préoccupé par ses RTT que par sa courbe de ventes.

    Autrement dit, oui :

    • l’apparence compte,
    • l’organisation de l’information compte,
    • l’écriture correcte des contenus compte,
    • vos médias comptent.

    Tout ce que des experts UX et design peuvent vous apporter.

    Conclusion : pourquoi l’apport de l’UX est-il primordial au e-commerce B2B ?

    Je vois au moins trois raisons principales.

    👉 Parce qu’il est indispensable à toutes les entreprises B2B de se mettre au même niveau que celles du B2C.

    👉 Parce qu’une vente se réalise à au moins 50% sur le Web.

    👉 Parce qu’une bonne ergonomie est le moyen de fidéliser vos acheteurs.


    A lire aussi

    Nos prestations : découvrez comment nous pouvons vous aider :

    Nos références : nous avons déjà plusieurs références dans ce domaine, découvrez-les :

  • ChatGPT, le perroquet adroit, mais pas intelligent du tout, du tout

    Perroquet bleu avec un chapeau
    Descriptif d'une perceuse sans fil par chatGPT
    Un descriptif produit dans chatGPT… beaucoup moins précis et intéressant que celle de n’importe quel site de bricolage. Alors ? Quel intérêt ?

    ChatGPT n’est pas magique et je vois beaucoup trop d’articles expliquer que grâce à chatGPT on pourra faire des descriptions de produits, faire des briefs d’agence ou bien écrire des articles complets pour le SEO. Etcetera, etcetera !

    Comme beaucoup, après l’avoir essayé, j’ai été bluffé par sa capacité à écrire du texte en bon français, gramaticalement bien construit, sans faute d’orthographe 😉, et avec, souvent, beaucoup de détails et d’informations.

    Whouah ! me suis-écrié. Voilà un truc qui va changer bien des choses.

    Et puis, peu à peu, le désenchantement est arrivé.

    ChatGPT commet beaucoup d’erreurs. Elles sont non apparentes pour peu qu’on y prête pas attention, mais elles sont réelles.

    ChatGPT n’est pas capable de rentrer dans un brief précis.

    Et pour cause, chatGPT ne comprend rien à ce qu’il fait.

    C’est un algorithme probabiliste qui enchaîne les mots, les phrases, les paragraphes sans aucune notion de sens. Il écrit des choses sans savoir au début ce qu’il va écrire à la fin. Il ne fait qu’empiler des morceaux de phrases qui, de manière statistique, s’enchaînent bien ensemble… mais sans savoir si l’enchaînement produira quelque chose de juste, ayant du sens. Et surtout, sans savoir si l’information qu’il régurgite est vraie ou fausse (et sans aucun moyen, pour l’utilisateur, de le vérifier).

    C’est une sorte de boîte noire magique, qui semble produire du sens, mais ne fait qu’en produire l’apparence.

    C’est un perroquet très adroit, mais un perroquet quand même !

    A l’instar de Midjourney, et que j’ai utilisé pour faire le perroquet qui illustre cet article, qui produit des images sans savoir la signification de ces images.

    Un peu de bon sens, d’observation et d’essais permettent de s’en rendre compte assez facilement… et je dois dire que je suis un peu dépité.

    Bien sûr, si je demande à chatGPT de décrire une perceuse (et ne me demandez pas pourquoi une perceuse) de manière générale, il y arrivera très facilement… mais si je lui demande de me décrire une perceuse en particulier, il commencera à commettre des erreurs.

    Et d’ailleurs, cela n’aurait aucun sens de lui demander, puisque le vrai contenu, original, se trouve déjà quelque par sur le Web (et Google l’aura déjà retrouvé avant).

    Beaucoup de gens prétendent avoir trouvé la lumière en ayant découvert chatGPT et déversent sur les réseaux sociaux de nombreux articles expliquant tout ce qu’on peut faire de miraculeux avec chatGPT pour gagner du temps.

    Eh bien non !

    ChatGPT ne vous fera pas gagner du temps. Et si, de plus, vous n’en comprenez pas le fonctionnement, il vous en fera perdre beaucoup, en plus de vous faire écrire des erreurs.

    Avant de vous fier à ce qu’on vous dit sur chatGPT, faites vos propres expérimentations, apprenez à le comprendre, à comprendre comment il fonctionne, quelles erreurs il peut commettre… et surtout, vérifiez qu’il vous fait vraiment gagner du temps. S’il vous en faut plus pour le corriger que pour écrire ce que vous aviez à écrire au départ, ça n’est probablement pas une bonne utilisation.

    Pour finir, ce court coup de gueule, je n’affirme pas avoir la prétention d’avoir tout compris à chatGPT, ni de savoir si c’est une bonne solution pour tel ou tel usage. Je n’ai absolument pas eu le temps de le faire. Mais quelques lectures d’articles, plus quelques essais m’ont permis de comprendre que si chatGPT semble pouvoir faire des choses extraordinaires, il vaut mieux s’en méfier et ne pas se fier aveuglément à ce qu’il promet.

    Jusqu’à aujourd’hui, je n’ai pas vu un seul site ou application l’utiliser réellement en production. Certainement parce qu’il n’est pas si simple que cela à maîtriser et que son industrialisation pose non seulement des question de coût, mais aussi des questions d’organisation de la production.

    Mes meilleurs conseils seraient, si vous me le demandiez :

    1. Expérimentez vous même l’outil, longuement, et soumettez-le à plusieurs tests de ce que vous voudriez faire vraiment en production
    2. Continuez à lire des articles sur le sujet et ne vous laissez pas berner par des titres prometteurs, ou surprometteurs, dont on sent que l’auteur n’a qu’une envie, c’est de se faire mousser
    3. Si vous avez envie d’aller plus loin, montez un véritable POC avec chatGPT et éprouvez-le en conditions réelles.
    4. Ne vous lancez pas tête baissée dans de la production avec chatGPT

    Je vous souhaite une excellente journée !

    PS : j’en profite pour faire ma pub… si vous voulez vraiment tester un truc avec chatGPT, faites donc appel à Wexperience. On pourra réfléchir ensemble à votre projet.

  • En 2023, les consommateurs préféreront les expériences parfaites aux marques

    Le nouveau consommateur est-il un homme trop pressé ?

    Une nouvelle étude vient de sortir et renforce l’impression que pour les consommateurs ce sont les expériences qui comptent avant les marques. Autrement dit, qu’ils préfèrent passer du temps sur des apps ou des sites ecommerce dont l’expérience est parfaite que de s’attacher à une marque.

    C’est la fameuse prime à l’UX dont on parle tout le temps chez WEX.

    Les chiffres qui disent tout

    Ainsi :

    44% disent préférer une expérience parfaite à la marque

    Tandis que 42% des marketers pensent qu’il sera plus difficile de fidéliser les consommateurs si on ne leur offre pas une expérience digitale satisfaisante.

    72% affirment que les temps de téléchargement trop longs sont leur source de souffrance principale quand ils font du shopping en ligne.

    Et 63% disent même que ce qui les énerve le plus, ce sont les erreurs de téléchargement (et comme on les comprend !).

    Les autres sources principales de frustration sont :

    • Les liens morts ou les boutons qui ne fonctionnent pas (46%)
    • Les formulaires qui n’acceptent pas les données qu’ils entrent (39%). Vous savez, les fameux champs nom qui ne prennent pas d’accent ou de tirer, etc…
    • Et bien d’autres choses encore que vous pouvez découvrir sur le site de Fullstory

    70% veulent aller vite et puis, c’est tout !

    Et c’est vraiment ce que nous disions mardi au cours de notre Morning Wex. Les utilisateurs en 2023 n’ont plus aucune patience. Ils ne supportent plus les erreurs et passent à autre chose dès que ça bloque.

    1 utilisateurs sur 3 affirme qu’il trouve encore pénible de faire du shopping en ligne

    65% des consommateurs affirment qu’ils abandonneraient une transaction à cause d’une trop grande complexité de l’interface

    55% proclament même qu’ils ne réutilisaient pas cette application ou ne retournerait pas sur un site si ça arrivait.

    Conclusion

    L’UX devient le facteur prédominant dans l’expérience client

    C’est vraiment le sentiment que nous avons chez WEX. Depuis deux ans, on a assisté à un changement total des comportements utilisateurs où ce qui domine est :

    • Une impatience croissante des consommateurs
    • Une habileté plus grande sur les parcours classiques, y compris chez les seniors, mais beaucoup moins de scrupules à abandonner dès que quelque chose ne va pas
    • De la souffrance qui nécessite du contact humain dès que les produits ou les offres s’avèrent complexes ou engageantes

    Il n’y a pas d’UX parfaite, mais il devient clair que celle-ci devient un élément prédominant dans l’expérience client globale que vous offrez à vos utilisateurs. Hormis les plus grandes marques iconiques, difficile désormais de ne pas être à la hauteur des meilleurs sites.

    Un objectif moins difficile à atteindre qu’il n’y parait

    La bonne nouvelle, c’est que cela coûte moins cher qu’il y a 3 ans, notamment, grâce à une meilleure expertise des UX Designers, mais surtout à l’installation, dans le paysage numérique, de nombreuses conventions, en particulier dans le ecommerce, qui facilitent et rendent plus rapide le travail de conception UX des sites et apps ecommerce.

    Et dans tous les cas, faites donc appel à une agence comme la notre. Notre expérience depuis plus de 10 ans avec plus de 500 clients parmi les plus grands comptes du ecommerce français vous permettra de bénéficier de leur expérience.

    Excellente journée !

    –> En complément de cet article, lisez notre bilan de l’expérience mobile pour 2023


    Source : New survey reveals consumers are loyal to experiences, not brands (and debunks 4 other common CX myths)

  • L’UX mobile en 2023 en France : pire ou mieux ?

    Le premier iPhone apparu en 2006, le chemin jusqu’à aujourd’hui a été long, mais il est désormais possible de mieux se rendre compte des usages sur mobile et des tendances qui président à l’expérience utilisateur sur le terminal favori du monde entier. Dans cet article, nous allons voir, grâce à un compte-rendu de l’agence Nielsen, aux Etats-Unis, quel est l’état de l’art de l’UX mobile en 2023. Mais pour commencer, quelques chiffres pour vous rappeler l’importance du mobile dans nos vies.

    Femme faisant ses courses avec un téléphone mobile

    Le temps passé sur mobile dans le monde excède 4h/jour

    👉 En moyenne, dans le monde, on passe 4h48 sur son mobile.

    👉 92,5% utilisent des apps et seulement 7,5% un navigateur.

    👉 60,1% des achats se font sur mobile

    👉 On y passe 6,7% de temps en plus qu’en 2022.

    En France, les 15-24 ans passent 3h53/jour sur mobile

    👉 On passe 2h26/jour sur Internet dont les 2/3 du temps sur mobile.

    👉 Les 15-24 ans y passent 3h53/ jour, tandis que les plus de 50 ans, c’est 2h30 (+31% par rapport à 2022)

    Quelles sont les apps les plus utilisés en France ?

    • Whatsapp
    • Facebook
    • Messenger
    • Instagram
    • Tousanticovid
    • Snapshat
    • Waze
    • Netflix
    • Amazon
    • Tiktok

    Etat de l’art mobile selon l’agence UX américaine Nielsen

    Pour réaliser son étude de l’UX mobile en 2023, Nielsen a réalisé des tests utilisateurs sur 60 sites avec 19 participants. Cela semble peu, mais est néanmoins suffisant pour dresser un état des lieux de l’UX mobile en 2023.

    Il en ressort 2 conclusions :

    • Nous sommes arrivés à une période de maturité où l’UX des sites et des apps est généralement bonne.
    • On peut désormais quasiment tout faire sur mobile

    7 constats de l’UX mobile en 2023

    1 – Standardisation du design

    Tout comme nous l’avons constaté de notre côté, Nielsen note que le design des sites se standardise au fur et à mesure du temps. La plupart finissent par se ressembler pour des raisons évidentes d’efficacité. Si tous les sites se ressemblent, la courbe d’apprentissage pour les utiliser devient quasiment nulle et les utilisateurs de sites peuvent les utiliser aussi facilement les uns que les autres.

    Autre constatation : la convergence du design des apps et des sites. Là encore, la raison est évidente. Pour diminuer encore la courbe d’apprentissage, les différences entre les deux s’estompent afin que les utilisateurs passent d’une app à un site de manière transparente.

    Grand contributeur à cet état de fait, les WPA, apps webs qui ont l’apparence d’une app et qui permettent de ne programmer qu’un site/app quelque soit l’usage site ou app.

    👉 Lire notre article sur le sujet : Vers la fin des applications mobiles ?

    2 – Convergence des plateformes

    Même entre les deux mondes, iOS et Android, la convergence de l’UX mobile en 2023 s’effectue. Les gestes et les design patterns sur mobile se ressemblent de plus en plus entre les deux environnement ultra-prédominants du mobile. Si bien qu’il devient de plus en plus facile de passer de l’un à l’autre pour n’importe quel utilisateur.

    Exemples :

    • Le swipe vers la gauche pour revenir en arrière
    • L’abandon du 3D Touch d’Apple au profit du « long press »

    3 – La victoire du responsive

    Même s’il arrive parfois, dans un recoin du Web, de tomber sur un site non responsive, aujourd’hui, la plupart des sites sont responsives. Il était temps et c’est désormais le minimum vital qu’attendent les utilisateurs pour aller chez vous.

    4 – Rapprochement des UI des apps et du Web

    Déjà évoqué plus haut, les PWA, grâce à leurs fonctionnalités qui permettent de reproduire avec du HTML les possibilités du mobiles, permettent d’offrir à peu près la même expérience.

    Mais, de manière plus générale, Nielsen constate que les sites développent désormais des apps aussi proche que possible de l’UI du Web et vice-versa. Là encore dans un soucis de convergence et d’économie. Convergence pour les utilisateurs, économie pour les entreprises qui consacrent moins de budget au design en le mutualisant entre les différents supports.

    La généralisation des design systems n’est pas pour rien dans cette évolution et y contribue même conséquemment !

    👉 Lire notre article sur les design system : Comment le Design System peut vous apporter bonheur, santé et prospérité !!

    5 – Amélioration du problème identifiant/mot de passe

    Une de sept plaies du Web sont les identifiants/mot de passe sur mobile. On a tous connu ça et nous avons tous pesté au moins une fois contre les problèmes de saisie de mot de passe ou d’identifiant perdu.

    Ces problèmes sont vraiment en voie de disparition grâce à plusieurs évolutions.

    La généralisation (aux US, en tout cas) des compte sans mot de passe utilisant ce qu’on appelle un lien magique ou un One time password. Il semble néanmoins que cette pratique ne se répande pas en France. Frilosité des utilisateurs ? Appréhension pour leur sécurité ?

    Mais ça n’est pas tout. Les grands changements sont plutôt dans le système lui même, avec, par exemple, la généralisation des gestionnaire de mots de passe, qu’ils soient intégrés au système, au navigateur (Chrome, par exemple) ou par un logiciel externe.

    Mieux encore, l’arrivée des Passkeys sur iOS où la notion même d’identifiant/mot de passe va totalement disparaître. Attendons de voir ce que cela va donner sur les sites webs français.

    6 – Une meilleure adaptation des interfaces aux petits écrans

    Après la course effrénée aux grands écrans, les petits écrans reviennent désormais en grâce et obligent les UI designers à des contorsions digne d’un Houdini. Car il s’agit de caser un maximum d’information dans un espace allant diminuant. Solution : faire disparaître le « chrome », terme américain qui désigne tous les éléments d’interface fonctionnels : boutons de navigation, de menu, etc.

    7 – Le fléau des « overlays »

    Autre domaine de lutte, celui des popins de page, de tous ces insupportables écrans interstitiels (overlays) de cookie, de demande d’autorisation de notification, d’abonnement à la newsletter, de chatbot, et même de pages internes, qui, non seulement dégradent l’expérience (c’est un des critères négatifs des core web vitals de Google, lire notre article sur le sujet) en « agressant » l’utilisateur, mais aussi en complexifiant sa navigation.

    👉 Relire : Tout ce que vous voulez savoir sur les Core Web Vitals et que vous n’avez jamais osé demander !

    Conclusion

    Le mobile est bien devenu l’outil principal d’accès au Web en 2023. Il s’est non seulement démocratisé, mais également standardisé et les interfaces tendent à devenir semblable les unes aux autres. C’est une bonne chose pour les utilisateurs et cela montre la nécessité pour les entreprises d’offrir des expériences de navigation les plus standardisées, cela sans y perdre son âme, en parvenant à mettre en avant son branding, son image de marque, et à offrir une expérience qui marque.

    Wexperience peut vous accompagner sur ces sujets. En 2023, nous avons testé et optimisé plus de 35 sites et applications. N’hésitez pas à faire appel à nous !


    Lire l’article de Nielsen : The State of Mobile User Experience

  • Sources RSS de la veille UX de Wexperience

    Téléchargez gratuitement notre fichier de flux RSS de veille sur l’UX

    Hello, hello !

    Sur cette page, vous trouverez le fichier OPML des flux RSS de la veille Wexperience dans le domaine de l’UX.

    C’est gratuit ! Téléchargez-le, installez-le, utilisez-le ! Une bonne veille ne vous coûtera rien et vous permettra de toujours rester à l’écoute des meilleurs articles et des meilleures innovations en UX.

    C’est quoi un fichier OPML ?

    Un fichier OPML (Outline Processor Markup Language) est un format de fichier utilisé pour échanger des informations de liste hiérarchique, comme les listes de lecture ou les listes de flux RSS. Il est souvent utilisé pour sauvegarder et partager des listes de flux RSS entre différents lecteurs de flux ou pour transférer des listes de lecture entre des applications de lecture audio ou vidéo. Les fichiers OPML sont généralement enregistrés avec l’extension .opml. Ils peuvent être ouverts et modifiés à l’aide de logiciels de traitement de texte ou d’éditeurs XML.

    Comment importer un fichier OPML ?

    Pour importer un fichier OPML, vous devrez d’abord trouver l’application ou le logiciel qui prend en charge les fichiers OPML. Ensuite, vous devrez localiser le fichier OPML sur votre ordinateur et utiliser l’option d’import ou d’ouverture de l’application pour charger le fichier. Les détails de l’importation peuvent varier en fonction de l’application utilisée.

    Quels sont les meilleurs lecteur de flux RSS ?

    Il existe de nombreux lecteurs de flux RSS populaires qui peuvent être utilisés pour suivre les mises à jour de vos sites Web préférés. Certains des meilleurs lecteurs de flux RSS incluent :

    1. Feedly: Un lecteur de flux RSS populaire qui vous permet de regrouper vos flux par catégories et de partager des articles avec d’autres utilisateurs.
    2. Inoreader: Un lecteur de flux RSS avancé qui offre des fonctionnalités telles que la recherche avancée, les filtres et les marque-pages.
    3. The Old Reader: Un lecteur de flux RSS simple qui se concentre sur la facilité d’utilisation et la présentation des articles.
    4. Flipboard: Un lecteur de flux RSS qui permet de créer des magazines personnalisés à partir de vos flux et de les partager avec d’autres utilisateurs.
    5. Digg Reader: Un lecteur de flux RSS simple qui vous permet de suivre les articles populaires de l’industrie.

    Il est important de noter que la meilleure application dépendra de vos préférences et de vos besoins, il est donc conseillé de tester différentes options pour voir laquelle vous convient le mieux.

    Vous ne connaissiez pas Wexperience ? Découvrez notre blog et tous nos articles sur l’UX et le ebusiness.

  • UX : 4 erreurs courantes des sites B2B et comment les corriger !

    En UX B2B, une des erreurs que nous observons le plus sur les sites d’entreprise B2B non transactionnels, c’est qu’ils ne sont pas assez orientés business. En fait, ce sont généralement de simples plaquettes digitales avec un formulaire de contact.

    Comme si ces entreprises n’avaient pas besoin de se vendre, comme si elles n’avaient pas besoin de nouveaux clients.

    Or, avec plus de 10 années d’e-commerce derrière nous, nous avons beaucoup appris à réaliser des sites dont la puissance marketing est un précieux atout pour les ventes et viennent suppléer efficacement les commerciaux de terrain.

    Il y a des choses qui, selon nous, sont souvent négligées ou mal réalisées dans ces sites. Retrouvez dans cet article 4 erreurs régulièrement commises, mais que vous pouvez corriger :

    Erreur n°1 : Du contenu trop long et trop compliqué

    Disons que les contenus de certains sites sont souvent indigeste et conçus comme si les visiteurs d’un site avaient le temps de lire un roman de Zola…

    Alors que non ! Dans un monde où tout va très vite et où les gens n’ont pas le temps, il faut que votre premier contenu soit percutant, marquant et que le message, soit clair dès le début. Et seulement après, vous pourrez mettre vos contenus plus « techniques ». Et cela vaut autant pour le B2B que pour le B2C !

    Erreur n°2 : Une identité visuelle ennuyeuse

    L’identité de certains sites est souvent fade, comme si les clients n’avaient pas besoin de se souvenir de vous. Entre les photos stocks / unsplash et autres, sans identité, sans parler des logos faits dans les années 80 où encore tous ces nouveaux logos qui se ressemblent tous… Une apparence générale qui se rapproche encore une fois des plaquettes papier plutôt que du digital !

    Vos sites doivent absolument laisser une bonne impression et une trace indélébile dans la mémoire de vos visiteurs. Un design impactant est un véritable atout, alors ne le négligez pas 😉

    Erreur n°3 : La version mobile est inutilisable !! Oui, oui ça existe encore en 2023 !

    Contrairement à une idée reçue, en B2B aussi, on consulte principalement le web avec un smartphone. Et là encore, vos contenus doivent être pensés pour le mobile, ce qui n’est pas souvent le cas. Alors pour y remédier, voilà ce qu’on vous conseille :

    🪚 Raccourcissez-les !
    🚀 Optimisez-les !
    👓 Rendez la navigation rapide et soignez la lisibilité !

    Vous n’allez tout de même pas vous permettre de laisser 40% de votre trafic de côté 😉

    Pour en savoir plus sur le sujet, on vous invite à consulter l’étude de Content Square

    Erreur n°4: Rien n’est fait pour créer de l’engagement

    Ce genre de sites se contente d’aligner des contenus, mais n’incite pas à créer de la relation avec le visiteur. Ce qui est bien dommage ! Vous devez capter l’attention et garder le contact en créant des parcours internes qui feront que vos utilisateurs resteront plus longtemps sur votre site. Alors, n’hésitez pas à

    • Multiplier les liens internes (pour le SEO of course) & diffuser des publicités pour vos prestations dans les contenus inbounds
    • Engager vers l’abonnement à vos réseaux sociaux ou même à votre newsletter. Votre site ne doit pas qu’être un outil de génération de leads, mais bien un moyen de créer une relation avec vos futurs clients !

    Et si vous souhaitez en savoir plus sur l’engagement c’est par ici 👉 Comment créer des applications qui engagent ?

    En résumé :

    👉 Bref, que vous soyez dans le domaine de l’industrie, du bâtiment, des services aux entreprises… Repensez votre façon de faire du digital. Vos prospects ont été biberonnés à l’e-commerce, aux réseaux sociaux, à TikTok. Alors, demandez-vous comment créer des expériences qui les enchantent. Fini le temps des plaquettes en ligne !

    Et pour un récap visuel, c’est par ici 👇

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  • UX en 2023 : année de l’optimisation de la performance des interfaces ?

    Quand on se demande quelles grandes priorités définir pour optimiser son UX, on est toujours un peu écrasé par le nombre de possibilités. Mais une étude de Content Square, le spécialiste des UX Analytics, publiée à la fin de l’année 2022, pourrait bien nous donner une piste intéressante.

    Une étude de Content Square, solution d’UX Analytics, nous confirme que la perf des sites est bien un enjeu crucial pour le ecommerce

    A l’heure où l’on sent une maturité de plus en plus grande en UX des sites de ecommerce et de ebusiness, améliorer encore plus l’expérience client est un défi de plus en plus difficile.

    Et pourtant, comme on le pense aussi chez WEX, un des axes principaux d’amélioration de l’expérience client, selon l’étude de Content Square, c’est désormais la perf : c’est à dire l’amélioration de la vitesse d’affichage des éléments d’une page.

    Rien de vraiment nouveau sous le soleil, mais une confirmation, qu’à l’ère du mobile (58% du trafic total de l’étude), télécharger le plus vite possible les pages et afficher rapidement ses contenus principaux au dessus de la ligne de flottaison est fondamental. Et d’ailleurs, toujours d’après Content Square, un autre chiffre qui devrait vous mettre la puce à l’oreille est celui-ci : le taux de rebond d’une page peut augmenter jusqu’à 32% si son temps de chargement passe de 1s à 3s. Ce qui est énorme ! Et confirme encore l’importance de ces paramètres.

    On en parlait d’ailleurs déjà là 👉 L’UX deviendra un critère Google en mai 2021. Sur mobile et sur desktop, ils sont mêmes pris en compte pour l’amélioration du SEO de vos pages.

    Une surprise : le tunnel de commande encore et toujours le talon d’Achille des sites ecommerce !

    Concernant les autres critères de perf, on ne va pas vous mentir, l’étude de Content Square ne fait que confirmer de nombreuses choses que l’on savait déjà. Mais un indicateur nous a surpris : le temps d’affichage des pages dans le tunnel de commande.

    Alors qu’on peut croire que celui-ci bénéficie des meilleures performances, il n’en est rien.

    Le temps moyen d’affichage y est de 5,56s sur desktop et de 4,54s sur mobile, contre 1,61s et 1,52s en moyenne sur le reste de l’ensemble des pages. Un comble… et une opportunité de plus pour améliorer son taux de conversion.

    Bien sûr, il y a encore beaucoup d’infos à découvrir dans cette étude, mais, en revanche, elle nous oblige bien à vous dire une chose : à l’heure où les français passent en moyenne plus de deux heures trente par jour sur leur mobile, s’occuper de sa perf devient impératif pour rendre leur expérience la plus agréable possible et augmenter vos chances de les convertir en clients.

    Envie d’améliorer votre perf ?

    Améliorer sa perf passe toutefois par une analyse précise de la situation. Il ne s’agit pas de se contenter de regarder des résultats d’outils fournis un peu partout gratuitement sur le Web, il faut surtout essayer de dresser un tableau global de la situation qui passe par l’analyse du code, du poids des médias, en passant par l’hébergement, et de bien d’autres kpi encore !

    Cette analyse, nous pouvons vous la proposer et vous proposer de vous accompagner sur toute la durée de votre optimisation jusqu’à ce que votre site soit capable de fournir les meilleures performances dans toutes les situations.

    Découvrez notre prestation d’audit de perf 👉 https://wexit.fr/audit-de-performance-core-web-vitals-seo/

    Qu’est-ce qui rend votre site web trop gras ?

    Des images trop lourdes

    Beaucoup d’images de site ne sont pas compressées, utilisent le mauvais algorithme de compression, ou bien ne sont pas redimensionnées pour l’affichage sur mobile. Leurs poids alourdit souvent le temps d’affichage de la page. Optez pour une solution d’optimisation des images ou adoptez un workflow qui permettent de mettre en ligne des images optimisées pour chaque situation, chaque contexte

    Revoyez notre webinar sur l’optimisation des images 👇👇👇

    Des appels à des scripts inutiles

    La tendance à mettre des frameworks de script est bien pratique pour les développeurs. Beaucoup permettent de disposer de nombreuses fonctions pour animer les pages webs. Problème : souvent, seule 10% de la librairie est utilisée, et le reste est téléchargé pour rien. Faites la chasse aux scripts inutiles et ne téléchargez à chaque fois que ce qui est nécessaire.
    Cette recommandation est vraie aussi pour les polices de caractères non standards ou pour des feuilles CSS surchargées.

    Du code non minimifié et mal structuré

    Le codage de vos pages peut aussi empiéter sur le temps d’affichage de vos pages pour deux raisons principales :

    1. le code est mal structuré, obligeant le navigateur à utiliser plus de ressources systèmes pour résoudre les problèmes d’affichage
    2. le code n’est pas minimifié, c’est à dire compressé, ce qui oblige le serveur à transmettre plus de données que nécesssaires

    Une UX trop complexe

    Plus les interfaces sont complexes, plus il faut d’actions pour accomplir un objectif sur un site, plus vous ralentirez votre utilisateur. Une bonne perf, c’est aussi des interactions minimisées au maximum, simple dans son apparence, où l’information va droit à l’essentiel.

    Et bien d’autres choses encore !

    L’optimisation de la performance passe par une analyse rigoureuse et poussée de nombreux paramètres.

    Vous voulez savoir lesquels ?

    Justement, nous avons un rapport type que vous pouvez télécharger pour mieux vous rendre compte de l’ampleur des choses à réaliser.

    L’optimisation de la performance passe par une analyse rigoureuse et poussée de nombreux paramètres.

    Vous voulez savoir lesquels ?

    Justement, nous avons un rapport type que vous pouvez télécharger pour mieux vous rendre compte de l’ampleur des choses à réaliser.

    Conclusion

    L’étude de Content Square vient nous rappeler que l’UX, c’est aussi de la technique, et pas seulement du design. Offrir une bonne expérience, une bonne UX, ne veut rien dire si votre site est trop lent, ne s’affiche pas assez rapidement, quelque soit les conditions d’affichage : qualité de connexion et puissance du terminal.

    Si vous n’y avez pas encore pensé, penchez-vous sur la question. Elle pourrait vous révéler des surprises !

  • Revue de web UX | 16 DÉCEMBRE 2022

    Bonjour bonjour ! Voici, pour bien finir cette semaine, quelques news du monde de l’UX et du digital en général ! Des chiffres, de la RA et l’annonce du lancement d’une des plus grandes mises à jour algorithmiques de Google…

    1/ Le retour sur investissement de l’UX

    On commence par cette étude d’Harris Interactive 2011 sur l’amélioration de l’expérience client, 89% des consommateurs ont acheté chez un concurrent suite à une mauvaise expérience client. Ou encore : après la refonte de son site de e-commerce, Walmart a entraîné une augmentation de 214 % du nombre de visiteurs.

    Découvrez une liste de faits et de chiffres prouvant comment une approche centrée sur l’utilisateur peut être bénéfique pour les projets, les produits et les équipes:

    Article à lire ici 👉 Le ROI de l’UX

    2/ Rentabilité des investissements UX & Ergo

    Quel budget consacré à l’UX et l’ergonomie ? La mesure de la qualité de l’expérience utilisateur sur un site ou une app est toujours difficile à mettre en rapport avec son ROI. Et pourtant, comme pour tout, il est essentiel de pouvoir le mesurer. Qu’on le veuille ou non, à l’heure du bilan, mieux vaut savoir justifier ses dépenses 🙂

    Article à lire ici 👉 Return on Investment for Usability

    3/ Et si Google avait trouvé le moyen d’évaluer l’expérience de vos contenus ?

    Vous avez sans doute déjà effectué une recherche sur Google et obtenu une liste de résultats très moyens, qui ne vous ont apporté aucune réponse concrète…? Ce qui est sûr, c’est que vous n’êtes pas le ou la seul.le et que c’est en fait un problème plutôt récurrent sur le moteur de recherche le plus utilisé du monde. Le jeudi 18 août 2022, Google a annoncé le lancement imminent de l’une de ses plus grandes mises à jour algorithmiques depuis dix ans: Helpful Content Update. L’objectif est d’évaluer l’utilité des milliards de contenus de son index, fournis en réponse aux demandes des internautes, pour en écarter la part jugée inutile…

    Article à lire ici 👉 Qu’est-ce que la mise à jour Helpful Content?

    4/ La réalité augmentée peut-elle vraiment réduire les retours du e-commerce?

    Les rendements représentent un problème de 550 milliards de dollars au total. Pour les e-commerçants qui opèrent avec des marges extrêmement minces, les retours peuvent causer un coup dur au résultat net. Parce que la RA donne aux consommateurs une meilleure idée d’un produit, ils sont moins susceptibles de les retourner. Retrouvez dans cet article quelques preuves de la capacité de la RA à réduire les retours de produits:

    Article à lire ici 👉 Réalité augmentée et rentabilité

  • Sites de service public : comment améliorer la relation avec les usagers et mieux leur rendre service grâce aux tests utilisateurs ?

    Vos usagers sont-ils heureux avec votre site Internet ? Avec votre application ? Arrivent-ils bien à utiliser vos services en ligne ? En sont-ils satisfaits ? Y a-t-il des mécontentements ? Des gens perdus ?

    Analyser le comportement des utilisateurs d’un site est compliqué !

    Analyser et comprendre ce qui se passe sur un site n’est pas facile et souvent source de mépris et d’erreurs, de mauvais choix de méthodologie, de mauvaises remontées, de croyances erronées ou de convictions toutes faites reposant sur le théorème de sa propre opinion.

    En bref, savoir ce qui se passe sur un site et découvrir comment on pourrait le rendre meilleur ne doit pas tomber dans l’escarcelle de la probabologie ou de la politique du doigt mouillé, mais bien suivre une méthode professée et rigoureuse qui permette à la fois de détecter les véritables enseignements d’une exploration exhaustive et rigoureuse et, en même temps, permettre de trouver les solutions aux problèmes qui seraient soulevés.

    La méthode des tests utilisateurs

    Une telle méthode existe-t-elle ? N’y en a-t-il qu’une ? Faut-il des outils particuliers pour la mettre en œuvre ? Des compétences spéciales ? Des connaissances ancestrales inaccessibles au commun des mortels ?

    Revenons sur une méthode qui a fait ses preuves et que nous utilisons au quotidien chez Wexperience pour analyser les sites de nos clients : les tests utilisateurs.

    Pour en savoir plus sur notre méthodologie des tests utilisateurs, c’est par ici : les tests utilisateurs by Wexperience 👈

    Les utilisateurs, au centre des expériences numériques

    Au centre du monde numérique, il y a les utilisateurs ! Les usagers, comme on dit dans le service public. Des gens, des êtres humains, des hommes, des femmes, des jeunes, des moins jeunes, des français, des étrangers, des doués et des moins doués avec le numérique. Bref, tout un petit monde complexe et difficile à analyser. De la pâte humaine dont la composition et les manières d’agir sont aussi impénétrables que le tunnel de Fourvières à l’heure de pointe à Lyon.

    Savoir les observer correctement est la clé de l’analyse de leur comportement. Mais avec quel niveau de détail ? Sur la base de quel échantillon ? Par quels moyens ? Telles sont les questions.

    Test utilisateur au sein de notre agence à Lille. La testeuse, au centre, est accompagnée et guidée par la facilitatrice, à droite.

    En psychologie cognitive, depuis que l’informatique existe (ça remonte à loin), les chercheurs ont toujours utilisé les tests utilisateurs pour comprendre comment ils pouvaient créer des interfaces qui seraient adaptées aux gens, vraiment adaptées. Cette méthode a fait ses preuves de longue date et elle est aujourd’hui utilisée partout, de la Silicon Valley aux méandres des équipes numériques de l’administration d’État. Et c’est cette méthode qui peut aussi être utilisée pour appréhender la problématique des sites publics.

    En quoi ça consiste ?

    Observer les personnes en situation

    Arnold Schwarzenegger Reaction GIF

    Un test utilisateur consiste à faire utiliser et à poser des questions à un utilisateur un site, une app, une borne, tout ce qui peut avoir un écran et créer des interactions. Chaque test compte un panel de 4 à 12 personnes (parfois plus, mais c’est rare) qui sont interrogées selon un scenario préétabli pendant des sessions qui durent entre 1/2h et 1h. Les sessions sont enregistrées, à l’aide d’une webcam, de l’enregistreur d’écran, d’un outil d’eye-tracking et sont ensuite analysées des experts de l’expérience utilisateur.

    Analyser leur navigation

    L’ensemble des observations relevées par les experts sont ensuite classées, triées, hiérarchisées et permettent de restituer une analyse complète de l’expérience utilisateur sur l’objet de l’étude :

    • Défauts d’ergonomie ou d’usabilité
    • Verbatims utilisateurs
    • Points forts de l’interface
    • Problèmes d’organisation de l’architecture de l’information
    • Zones d’interaction difficiles
    • Compréhension des textes et des médias
    • Etc.

    Notre agence, Wexperience, conduit environ 2 tests de ce type par semaine. Ce qui permet à nos clients d’avoir une idée très exhaustive de leurs problématiques sur leur site web ou app.

    Pourquoi c’est bien ?

    Les tests utilisateurs, que nous appelons « qualitatif », par rapport aux tests utilisateur dit « quanti », menés sur des échantillons plus larges, présentent bien des avantages au regard de leur coût.

    1/ Les tests utilisateurs ne mentent pas !

    Liar Lie GIF by Fluffy Friends

    Placés en situation de test, les utilisateurs sont conditionnés pour agir « naturellement », comme s’ils étaient chez eux, ou seuls face à leur écran. Ils ne cherchent pas à tricher, car ils n’ont pas à réussir un test, mais juste à « faire les choses » sans aucune contrainte. Cela nous permet, quand nous conduisons ces tests, d’atteindre une situation proche de la réalité qui restitue ce qui se passerait si nous n’étions pas là

    2/ Les tests utilisateurs sont rapides !

    Dog Show GIF by Westminster Kennel Club

    Que ce soit en mode guerilla, à distance, ou à l’international, les tests ne nécessitent pas la mise en œuvre de gros moyens et permettent parfois en moins d’une semaine d’obtenir une évaluation exhaustive d’une interface et de l’expérience utilisateur qu’elle procure.

    3/ Les tests utilisateurs sont irréfutables

    The Office gif. Rainn Wilson as Dwight Schrute secretly holds a hand near his mouth. He turns to us and plainly says: Text, "It's true."

    Par conséquence du premier point, les utilisateurs sont un outil de communication et de facilitation au sein des entreprises, qu’elles soient publiques ou privées, irréfutables. Chaque test étant enregistré et exécuté par une personne neutre, il ne peut pas être contesté et peut définitivement servir d’arbitre des débats lorsqu’ils ont lieu. Un test met souvent tout le monde d’accord sur un diagnostic.

    Découvrez nos tests vus par TF1 👇

    Quand faire ses tests utilisateurs ?

    Des tests utilisateurs peuvent être réalisés dans plusieurs contextes :

    • Avant une refonte complète de site ou d’app pour établir un diagnostic précis de l’expérience utilisateur de l’interface
    • Pendant une refonte ou pour tester des évolutions. Même si le site ou l’app est encore en construction ou même encore s’il s’agit d’un prototype, un test peut être réalisé. A l’extrême, un test peut même être réalisé sur des feuilles de papier dessinées. Vous voyez que c’est une méthode tolérante 🙂
    • Pendant toute la durée de vie d’un site ou d’une app : un peu comme un contrôle technique ou checkup. Un site web évolue, les utilisateurs évoluent, le parc matériel évolue aussi. Tout ces éléments font qu’il est nécessaire de regarder de temps en temps ce qui se passe. Comme c’est très rapide et peu cher, rien ne peut vous arrêter d’en faire.

    À lire sur le même sujet : la refonte de site by Wexperience 👈

    Combien coûte un test utilisateur ?

    Cette question dépend du type de test, du nombre d’utilisateurs testés, de l’ampleur du test et de la technique utilisée.

    Pour un test rapide en mode guerilla pour tester une fonctionnalité, un test coûtera moins de quelques milliers d’euros. Le poste de coût le plus élevé étant l’analyse si elle est manuelle.

    Des tests plus lourds nécessitant plus de logistiques ou plus d’utilisateurs ou une expertise plus poussée peuvent atteindre plus de dix mille euros. Mais cela dépend encore du contexte et peut être modulé en fonction d’autres paramètres.

    Comment un test se met-il en place ?

    Il existe plusieurs manière de mettre en place un test. Cela dépend, encore une fois, du contexte et des objectifs du test.

    Globalement, un test se décompose en 4 phases :

    • Analyse du contexte et définition des objectifs du test
    • Définition des profils des testeur, recrutement, écriture du plan de test
    • Préparation du matériel, programmation du test, conduite et guidage du test
    • Analyse et restitution

    Chacune de ces phases peut être conduite avec plus ou moins d’intensité, de précision ou d’exigence. Il n’est pas toujours conseillé de conduire des tests de manière lourde et conséquente. Vous pouvez même conduire vous même vos tests. C’est un pis-aller, mais il peut être parfaitement acceptable, dans certaines conditions.

    À lire sur le même sujet : Faire soi-même ses tests utilisateurs ? 👈

    Quanti ou quali ?

    Nos interlocuteurs sont toujours étonnés d’apprendre que quelques utilisateurs seulement permettent d’auditer et d’analyser un site entier. C’est pourtant vrai. On a coutume de dire que 12 utilisateurs permettent de trouver 80% des défauts d’un site web entier. Ça parait incroyable, mais de nombreuses études ont montré que, statistiquement, un faible nombre d’utilisateurs couvrait presqu’intégralement les comportements de parfois plusieurs millions d’utilisateurs. Ce qui représente un avantage indéniable, n’est-ce pas ?

    Toutefois, des sociétés proposent des tests dits « quanti » qui permettent d’auditer un site ou une app avec quelques centaines d’utilisateurs. Quel intérêt ? Ces sociétés arguent du fait que la quantité permet d’assurer statistiquement le relevé de défauts et d’être plus représentatif. Attention : ces tests ne se déroulent pas dans les conditions que nous avons décrits plus haut. Par exemple :

    • Les tests quanti ne sont pas guidés : l’utilisateur est seul devant l’écran et libre de faire ce qu’il veut. Autrement dit, il n’y a pas de contrôle sur son application
    • Les testeurs recrutés ne sont pas ciblés et donc, pas forcément impliqués dans ce qu’ils font
    • Les enseignements retirés de ces tests sont souvent très « légers » ou pas suffisamment profond pour en tirer de réelles conclusions d’amélioration

    Il faut cependant admettre que ces tests ont deux avantages :

    • Ils sont nettement moins chers à mettre en œuvre
    • Ils peuvent compléter un test quali en apportant une vision plus généraliste de l’UX d’un site ou d’une app

    👉 Ils ont fait appel à nous pour des tests utilisateurs : Arcom, la SCAM, Erasmus, Médiathèque de Roubaix, Ilevia, La Poste, GRDF

    A distance ou en présentiel ?

    Les tests utilisateurs peuvent tout à fait être menés à distance via un outil de visioconférence. Cette façon de faire nous a permis de continuer nos prestations pendant toute la durée du confinement en 2020 et même ensuite, pendant les périodes de couvre-feu.

    Faire des tests à distance se justifie également dans le cas de tests faisant appel à des testeurs répartis sur une large zone géographique. Cela nous arrive souvent quand nous devons évaluer une interface pour une société implantée à l’étranger ou bien lorsque le panel de testeur est réparti sur l’ensemble du territoire.

    Mais les tests conduits en présentiel, en face à face avec l’utilisateur, restent les meilleurs, car ils permettent une interaction directe entre le testeur et le guide (un expert UX qui accompagne le testeur pendant qu’il exécute ses tâches). Cela permet de mieux comprendre ses pensées, ses appréhensions, de mieux « sentir » son comportement. Tout comme il est plus facile de se comprendre en face à face qu’en visioconférence ou au téléphone. N’oublions pas qu’une relation interpersonnelle s’effectue aussi à travers de nombreux signes corporelles imperceptibles, mais pourtant bien présents, apportant une subtilité aux échanges que ne peuvent pas reproduire les moyens de communications modernes, ou, du moins, de manière abâtardie.

    À lire sur le même sujet : Les tests utilisateurs à distance 👈

    👉 Pour découvrir notre studio de test à Lille, c’est par ici

    Facilité ou non facilité ?

    Il est essentiel qu’un test utilisateur soit mené par un facilitateur, c’est à dire un expert UX, qui sache guider l’utilisateur pendant le test. Cela permet d’enclencher une mécanique qui n’apparait pas si le testeur est laissé seul face à l’écran.

    En présence d’un facilitateur :

    • Un testeur ne peut pas tricher en accomplissant ses tâches
    • Il ira jusqu’au bout de chaque tâche
    • Il sera plus impliqué
    • Pourra préciser ses actions en pensant à voix haute et ainsi améliorer la compréhension de ses actions.

    Un test utilisateur facilité représente donc énormément d’avantages par rapport à un test non facilité qui risque de ne fournir que des résultats partiels ou erronés. Dans tous les cas, nous recommandons cette méthode pour arriver aux meilleurs résultats.

    Conclusion : pourquoi les tests utilisateurs permettent d’améliorer les services publics ?

    schitts creek yes GIF by CBC

    L’avenir des services publics passe par le numérique mâtiné de relation humaine. Une chose est certaine, en tout cas, énormément de démarches peuvent être mises entre les mains des usagers sans faire intervenir d’agent de la fonction publique. Encore faut-il que ces services soient « universalisés ». C’est-à-dire qu’ils répondent à des critères qui leur permettent de répondre à tous les usagers d’un territoire :

    • Accessibilité : un service public ne doit pas rejeter un usager parce qu’il est définitivement ou provisoirement handicapé pour utiliser les outils du numérique
    • Inclusivité : un service public ne doit pas rejeter, par sa nature, des usagers qui seraient exclus de par leur appartenance à une ethnie, une communauté religieuse, des préférences sexuelles choisies ou non, etc
    • Simplicité : un service public ne devrait pas rejeter ses usagers par l’adoption d’un langage jargonnant ou administratif, et doit savoir descendre de son pied d’estale d’autorité public pour se mettre à la hauteur des personnes qu’il est censé servir.
    • Universalité : un service public doit pouvoir fonctionner sur n’importe quel type de matériel ou sur des connexion dégradés pour offrir une qualité quelque soit ses conditions d’utilisation

    À propos de tests utilisateurs dans le service public : découvrez notre podcast mené avec David Duhamel, lead UX chez Radio France 👈

    Même si ces critères peuvent être définis par des normes, il n’est pas si simple de les respecter. Leur mise en œuvre peut être longue, cher, trop complexe parfois, et nécessiter des compromis.

    Les équipes en charge des projets sont affectés de biais ou n’ont pas forcément toutes les compétences pour faire les bons choix.

    Pour toutes ces raisons, les tests utilisateurs qui sont, je le rappelle, un outil simple, permettent d’étudier, de vérifier, de valider des choix en développement, en ergonomie, en contenus qui tendent à respecter au mieux le principe d’universalité des services publics. Ils en sont le meilleur agent et le meilleur avocat

  • Revue de web UX | 7 DÉCEMBRE 2022

    Cette semaine au programme: de la réalité augmentée (encore!) de la couleur et moult articles super intéressants afin de rester informé sur tout ce qui se passe dans le monde fabuleux de l’UX et du digital en général !

    1/ L’outil qui va simplifier vos audits d’accessibilité numérique

    L’Etat vient de sortir un nouvel outil pour auditer l’accessibilité des sites web : Ara, le nouvel outil d’audit RGAA n’a pas la prétention de faire les audits à notre place. Alors à quoi sert-il?

    (crédit: DesignGouv)

    Article à lire ici 👉 A quoi sert l’outil Ara?

    2/ La nouvelle version de l’outil Green IT

    GreenIT dévoile la dernière version de EcoIndex (outil de référence pour évaluer les impacts environnementaux d’un site web) et annonce la création d’une association à but non lucratif, dont l’action principale est d’éclairer le débat public sur un numérique plus responsable:

    Nouvelle identité visuelle et logo de GreenIT

    Article à lire ici 👉 Post de GreenIT.fr

    3/ LA couleur de l’année : Viva Mangenta !

    Le Pantone Color Institute se compose de dizaines d’experts interdisciplinaires qui étudient la couleur sous différents angles, notamment la psychologie, la mode, le design d’intérieur et l’art. Ils ont commencé leurs recherches pour la couleur de l’année 2023 en mars de cette année, essayant de comprendre l’air du temps des événements mondiaux et des tendances du marché. Cette année, c’est un rouge vif et audacieux appelé Viva Magenta, une couleur explorant l’interaction entre le monde réel et le monde virtuel…

    (crédit: unsplash)

    Article à lire ici 👉 Découvrir LA couleur de l’année

    4/ Les news de la réalité augmentée

    Un peu de lecture pour connaître toute l’actu: du Metaverse aux lunettes de réalité augmentée, découvrez toutes les dernières nouvelles sur le sujet depuis le lien ci-dessous… 🙂

    Une autrice originaire de Sainte-Perpétue dans L’Islet, secondée par sa fille, signe un livre jeunesse proposant une expérience immersive alliant littérature et réalité augmentée. (crédit: Le Placoteux.com)

    Article à lire ici 👉 Les nouvelles mensuelles de la réalité augmentée

    5/ Design Principles: Une collection open source de principes et de méthodes de conception

    Que sont les principes de conception, pourquoi les utiliser et qui les utilise? Découvrez 195 exemples de principes de conception dans cet article:

    Article à lire ici 👉 Design Principles