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  • Analyse UX : Burklin Elektronik, leader de l’électronique

    L'app Bürklin

    Un nouveau design

    « Notre nouvelle identité de marque est pleine de dynamisme, nettement plus numérique et en même temps clairement centrée sur l’humain », déclare Pirjo Niemi, CMSO, à propos du nouveau design.

    Pour ses 70 ans, le distributeur allemand Bürklin s’est offert un rebranding qui le distingue fortement de ses concurrents.

    Qui dit rebranding dit refonte des parcours clients et, dans cet article, on vous donne notre première analyse sur un site qui se veut à tout point de vue innovant.

    Vous souhaitez une analyse plus poussée de Bürklin Elektronik ou vous aimeriez mieux connaître nos méthodes d’analyses pour vous aider à rendre plus performants votre site ecommerce ? Contactez-nous !

    A propos de Bürklin Elektronik

    Bürklin Elektronik est une entreprise allemande spécialisée dans la distribution de composants électroniques et d’équipements de haute qualité. Fondée en 1954 et basée à Oberhaching, près de Munich, l’entreprise offre une large gamme de produits incluant des composants passifs et actifs, des connecteurs, des câbles, des outils, et des équipements de mesure.

    • 75 000 : Nombre d’articles en stock disponibles pour livraison immédiate.
    • 1954 : Année de fondation de l’entreprise.
    • 500 000 : Nombre total de produits disponibles à la commande via leur catalogue en ligne.
    • 98% : Taux de livraison dans les délais promis.
    • 30 : Nombre de pays où Bürklin Elektronik assure des livraisons directes.
    • Plateforme technique : Intershop

    Apparence graphique / impression visuelle

    Page d'accueil de Bürklin Elektronik
    Page d’accueil de Bürklin Elektronik

    D’un point de vue graphique, on peut dire que Bürklin ne fait pas dans la dentelle. Des couleurs fluos, presque criardes. Un design très flashy, mais aussi très tendance. Et une police de caractère à pas fixe, au style électronique, qui vient renforcer l’impression de société de matériel électronique.

    Version desktop

    Un moteur de recherche proéminent 👍👍

    Un best-practice évident : rendre le moteur de recherche le plus utilisable et le plus visible possible, surtout quand on a une offre aussi large que Bürklin.

    Un design minimaliste facilitant la lisibilité de la page 👍👍

    Les nouveaux choix de design de la marque favorise une simplicité visuelle. Peu de couleurs, une typo impactante, mais lisible. Une organisation simple et espacée.

    Un grand menu de navigation responsive 👍👍

    Il est toujours très difficile de créer un menu de navigation avec une offre aussi large. Le choix fait ici est très simple, sans fioriture, mais efficace.

    Bémol : une partie éditoriale compliquée à lire 👎

    Partie éditoriale de la page d'accueil de Bürklin Elektronik
    Partie éditoriale de la page d’accueil de Bürklin Elektronik

    La partie éditoriale de la page d’accueil est placée bas dans la page. Son organisation et surtout la diversité de sa mise en forme donne une impression de confusion.

    Version mobile 👍👍

    La page d’accueil sur mobile semble mieux structurée que sur desktop. Tous les éléments s’organisent parfaitement. L’ensemble et cohérent et facile à parcourir.

    En fait, on a l’impression que le site a d’abord été conçu sur mobile.

    Version mobile de Bürklin Elektronik
    Version mobile de Bürklin Elektronik

    Navigation/présentation de l’offre

    Page liste 👍

    Les pages listes présentent une complexité inhérente à l’offre Bürklin. On imagine le casse-tête que cela a du être pour les concevoir.

    A noter :

    • Couleurs radicales qui créent un guidage fort
    • Affichage malin des prix par quantité
    • Bonne mise en avant de la disponibilité
    • Possibilité d’ajout au panier directement depuis la liste
    Affiche de la liste produit sur Bürklin elektronik
    Affiche de la liste produit sur Bürklin elektronik

    Un menu filtre extrêmement complexe visuellement 👎

    Le menu de recherche des composants est extrêmement complexe visuellement. Il est aussi assez peu pratique à utiliser. Difficile de juger les choix qui ont été faits ici. Sans doute qu’une solution plus simple aurait été extrêmement coûteuse à réaliser.

    Quelques remarques :

    • Complexité visuelle, mais bon rangement de l’information
    • Problème : rechargement de la page à chaque choix de filtre
    • Slider latéral malvenu
    Filtres de recherche dans la liste produits
    Filtres de recherche dans la liste produits

    Version mobile 👎👎

    Sur la version mobile, cette page est très dégradée en terme d’utilisabilité.

    • Le menu filtres devient extrêmement difficile à utiliser
    • Boutons « cases à cocher » trop rapprochés
    • Choix de présentation en carrousel des produits très peu pratique
    • Disparition de l’affichage du prix par quantité

    Page produit 👍👍👍

    La page produit est bien organisée et bien rangée. C’est un bon exemple de fiche produit pour des produits aussi complexe que des composants électroniques.

    • Un haut de page clair et guidant
    • Beaucoup d’informations
    Fiche produit chez Bürklin Elektronik
    Fiche produit chez Bürklin Elektronik

    Conclusion

    Le rebranding de Bürklin montre qu’on peut créer un site moderne, dynamique dans un domaine réputé pour sa « sécheresse ».

    Ce qu’il faut retenir :

    • Un design réussi
    • Une interface simple qui met en œuvre plusieurs best-practices du ecommerce digital
    • Une grande complexité, parfois, dans les outils de configuration, inhérent à la typologie de l’offre

    Vous souhaitez une analyse plus poussée de Bürklin Elektronik ou vous aimeriez mieux connaître nos méthodes d’analyses pour vous aider à rendre plus performants votre site ecommerce ? Contactez-nous !

  • Kiloutou : vaincre la complexité d’un tunnel de commande à 70 versions

    Feedback sur la table ronde du 25 juin 2024 par MC Factory

    La table ronde organisé par MC Factory, avec Kiloutou,

    La semaine dernière, le magazine MC Factory organisait une table ronde autour du ecommerce en partenariat avec le magazine Stratégies et Adobe.

    Invité, Cédric Tamboise, head of digital de Kiloutou, client de Wexperience, répondait aux questions de Majda Chaplain.

    Pour rappel, Kiloutou est le n°2 de la location de matériel de chantier en France et 3ème en Europe. En B2B et B2C.

    Voici ce que nous avons retenu de cet échange.

    A problème complexe -> solution complexe

    Pas possible de proposer un parcours unique pour des demandes très différentes. Du particulier, au pro, jusqu’à l’entreprise de travaux-public, les offres, les besoins sont différents, mais les points de contact sont les mêmes.

    Obligation de les concilier dans une même plateforme.

    Cela sous-tend une technologie capable de prendre en compte les différents parcours en une seule interface.

    Mais également de pouvoir proposer des parcours personnalisés. Exemple : tunnel de commande = 70 versions pour 70 cas de figure différents

    Conséquence : solution IT développée inhouse

    La vérité vient du terrain

    Pas possible de théoriser les parcours.

    Pas de modèle concurrent -> obligation d’innover et d’inventer

    L’innovation vient de l’observation de terrain :

    • Remontées collaborateurs
    • Tests utilisateurs
    • Ambassadeurs

    UX comme atout majeur

    Fluidité des parcours indispensables : les visiteurs n’ont pas à se battre avec l’interface

    Demandes complexes doivent être simplifiées en ligne.

    Atout, car soulage les collaborateurs en magasin ou téléphone

    Besoin de beaucoup d’informations sur le site, car contraintes logistiques parfois énormes (ex : livraison grue). Donc, plus claire sera l’interface, moins de temps sera perdu à trouver l’information

    Kiloutou en chiffres

    • Kiloutou : 40 ans, présent dans 7 pays, 600 agences, B2B, N2C, particuliers, artisans, entreprises du CAC 40
    • 10% activité faite sur le digital, X3 dans 6 ans
    • Site Récompensé l’année dernière trophée par Content Square

    Retrouvez la table ronde complète en vidéo : https://www.mcfactory.fr/marketing-digital/comment-lacoste-accor-kiloutou-stellantis-excellent-en-e-commerce-strategies-gagnantes-2024/

  • Les meilleures UX de sites financiers selon Google

    J’étais invité hier soir à une soirée de remise de prix des meilleures expériences utilisateurs des sites du domaine de la finance par Google.

    Une soirée riche en rencontres et en enseignements qui m’a permis de me rendre compte de l’importance qu’attachait Google à l’UX désormais.

    On savait déjà, depuis les Core Web Vitals, que c’était devenu un critère de différenciation pour le SEO, mais il semblerait désormais que Google veuille aller plus loin et pousse ses clients à réellement se préoccuper de la manière dont ils gèrent ses parcours utilisateurs.

    La raison en est simple… meilleure sera l’UX des sites auquel Google apporte du trafic, plus cela rapportera à Google. Une meilleure UX voulant dire un meilleur taux de rebond, un meilleur taux d’engagement et un meilleur taux de transfo, cela signifie aussi des hausses d’achats de mots clés. Cercle vertueux !

    Autoportrait en terrasse parisienne
    Rien de tel qu’une petite terrasse parisienne avant de se plonger dans les mystères de l’UX chez Google

    Mais peu importe la raison, le fait est que cette attention particulière portée à l’UX permet de créer des expériences qui améliorent les besoins des utilisateurs. Et, hier soir, même s’il ne s’agissait que de parler du domaine de la finance, tout ce qui était récompensé révélait les best-practices de l’UX tels que Google les recommande.

    Félicitations aux gagnants, dont Cofidis et Sofinco, des clients de Wexperience, mais aussi à Meilleurtaux Assurances, basé à Lille. Les nordistes étaient encore présent en masse hier soir. Cocorico !

    Et toujours retrouvailles sympas quand on est dans la vraie vie. Ici, avec Nicolas Auvinet, Directeur du Numérique chez April Moto, l’assureur des motards, un client WEX !!!
  • Metaverse : demain, ferons-nous tous du shopping en 3D ?

    Cette semaine, la part belle des news du numérique était encore au Metaverse de Meta/Facebook, ce qui m’a fait me demander, puisque j’aime bien parler de ecommerce : « oui, mais va-t-on vraiment pouvoir faire du ecommerce dans le Metaverse ? » « Va-t-on vraiment chausser ses Oculus (lunettes de réalité virtuelle) pour aller faire du shopping ?« 

    « Chérie, je vais faire les courses !

    N’oublie pas les couches du petit !

    Non, non, je n’oublierai pas. »

    Et vous voilà parti avec votre casque dans les rayons d’un hypermarché virtuel, dans lequel il sera plus facile de ne pas oublier les couches du petit, puisqu’il suffira de l’ajouter à une liste électronique, permettant de pallier à votre mémoire défaillante ou si facilement distraite par le rayon bières.

    Moi, en train de retirer un paquet de chips d’un rayon d’un supermarché virtuel 🙂

    Pas besoin de sortir de chez vous. Et avec la montée en puissance du quick commerce, vous serez livré en moins de 10mn par un gentil livreur à vélo ou en scooter électrique.

    (bien, ok, on voit déjà tout de suite que la livraison rapide, ça ne marche pas, pour les grosses courses. Difficile d’imaginer un coursier en vélo vous livrer vos packs de bière, les couches du bébé, les rouleaux de papier hygiénique et les boîtes de céréales à bord de son frêle deux roues)

    Le rêve ?

    Vous pourriez voler au dessus des rayons pour aller plus vite. Utiliser un moteur de recherche intégré dans votre vision. <- Et, du coup, plus besoin de demander à un vendeur introuvable où se trouve la sauce au Gorgonzola en pot. Vous trouveriez instantanément.

    Évidemment, plus besoin de faire la queue. A moins, que pour aller jusqu’au bout du concept, les créateurs de l’hypermarché ne décident de recréer cet élément indissociable des grandes surfaces afin de redonner une touche de réalisme à votre expérience… mais, on aurait le droit de couper la file ! Imaginez ! Quel plaisir !

    Et puis, super, bien évidemment, vous n’auriez besoin de parler à personne. Pas à la caissière ou au caissier, qui, de toute façon, dans la vraie vie, vous déprime en vous ramenant à la triste réalité « des petits métiers qu’il faut bien faire ».

    Mark Zuckerberg disait qu’on pourrait essayer des produits en vrai avant de les acheter. Un pantalon, un costume, une perçeuse… tout ça simulé en 3D. J’ai un peu de mal à voir pourquoi il faudrait passer par un univers virtuel pour faire tout ça, puisque ça existe déjà, que ça n’est pas vraiment terrible, et que ça n’enrichit pas tant que ça l’expérience client… sauf à arriver à une sorte de réalisme parfait, que je n’ai encore vu nulle part pour ma part et dont je doute que le Metaverse fasse beaucoup mieux que les solutions actuelles.

    Dans le metavers de Facebook, on pourra voler pendant les réunions. Formidable… 😔

    Quels avantages pourraient vraiment apporter la 3D au commerce ?

    C’est vraiment la question qu’on peut se poser tant elle est un frein à l’expérience de déplacement, contrairement à ce qu’on pourrait croire à première vue.

    Mettre de la 3D dans le digital, c’est comme remettre une contrainte du monde physique que le web avait effacé : la notion de distance.

    Lorsque vous surfez sur Internet avec un écran, vous passez d’un univers à un autre en un clic. Vous passez d’un rayon à un autre en un clic. Vous trouvez instantanément ce que vous cherchiez en un clic, grâce à un moteur de recherche. Se promener dans un univers en 3D pour faire du shopping n’a d’autre sens que de vouloir trouver du plaisir à se transposer dans un monde surréaliste, proche de ce qu’on trouve dans les jeux vidéos (et ça n’est d’ailleurs pas une surprise que les seuls vrais métavers existants soient des jeux vidéos)… et dont le seul intérêt est effectivement d’être projeté dans un ailleurs plus onirique, mais qui ne répond en aucun cas à un besoin utile de gagner du temps, d’aller plus vite, d’augmenter nos capacités cognitives, ce que fait déjà très parfaitement le Web d’aujourd’hui.

    Imagine-t-on les gens affublés d’un casque VR pour aller au supermarché ?

    Et puis, imagine-t-on vraiment les gens…. pas les gens, comme vous et moi, qui passons des heures sur Internet à essayer de comprendre quelque chose à cet univers en perpétuel mouvement… pas les jeunes, penchés pendant des heures sur leurs écrans… non mais, les gens, les vrais, ceux pour qui l’ordinateur ou le téléphone ne sont que des accessoires de la vie quotidienne et pas des outils de plaisir et d’exploration… enfiler un casque pour aller parler au guichetier de la SNCF ou à leur voisin, ou bien, encore aller « pousser le caddie » le samedi après-midi dans une pâle imitation de rayons numériques ?

    Bien entendu que parfois, la réalité est lourde, pénible, et que l’on préférerait s’en absoudre pour ne pas perdre de temps. Qui, franchement, a envie d’aller faire la queue dans une boutique ? (encore que, ça fasse partie du concept de certaines enseignes)

    Mais enfin, tous les outils qui nous permettent d’éviter certains désagréments de la vie réelle, nous les avons déjà. Et l’on sait aussi maintenant que l’on ne peut pas tout numériser, et que le contact humain, reste souvent indispensable pour simplifier les démarches, résoudre une difficulté que le numérique ne peut pas résoudre… oui, il y a des limites au numérique. Y apporter une dimension 3D n’est pas simplifier ce monde sous prétexte de le faire ressembler à la réalité. Il s’agit du même problème que l’anthropomorphisme des robots. Le metaverse est la traduction exacte dans le numérique de vouloir donner à nos programmes, à nos applications, l’apparence de la réalité en pensant que cela serait plus facile, plus acceptable.

    L’obsession toujours de recréer le vivant avec la technologie

    Dès qu’une nouvelle technologie apparaît, les humains essaient toujours de lui donner l’apparence du vivant.

    Cela me rappelle exactement les architectes qui donnaient, à une époque, au métal ou au béton l’apparence du bois, pour rendre plus familier ces matériaux à nos sens et à nous les faire accepter plus facilement. Qu’on pense aussi à Clément Ader avec son avion aux ailes de chauves-souris. Ou bien, de manière plus proche de nous, au design skeumorphique, consistant à donner l’apparence de réalité à nos interfaces. Plus personne ne fait cela, car nous savons que cette imitation de la réalité n’est pas la réalité, comme une imitation de marbre en peinture, comme un faux plancher en lino. Nous avons surtout besoin que la technologie soit plus efficace que celle-ci, non pas en apparence, mais dans ces fondements, et qu’elle nous donne réellement des super-pouvoirs, qu’elle augmente nos capacités cognitives. Pas qu’elle nous empêtre dans une imitation balourde de la réalité.

    Tout est déjà là. Pourquoi le mettre dans un monde en 3D ?

    C’est en cela que je pense que le Metaverse ou tous les univers 3D ne pourront offrir l’efficacité de toutes les interfaces et tous les moyens numériques que nous avons déjà développé depuis des années dans le « Web normal ».

    Si la 3D avait été le futur du numérique, nous le saurions déjà. Et si la 3D apportait réellement quelque chose au commerce, nous le saurions aussi.

    Bien évidemment, on peut imaginer quelques exceptions. La visite virtuelle d’une maison… Pourquoi pas ?

    Ou bien la visite d’une destination touristique.

    Pourquoi pas non plus…

    Mais vraiment, non, la 3D n’est pas un progrès pour l’expérience utilisateur au quotidien. C’est même plutôt l’inverse. Et si un véritable marché existe à l’intérieur de ces mondes virtuels… un marché pour des objets virtuels… il m’est difficile de croire que demain, nous irions tous faire notre shopping en enfilant un casque, en nous isolant de nos congénères, en fuyant le vrai monde, dont nous avons tant besoin… en fuyant ce qui fait l’essence de la vie, l’usage de tout nos sens : le toucher, l’odorat, le goût, et pas uniquement la vue et l’ouïe. Et même si les gens apprécient de temps à autre ces évasions numériques, leur aspiration principale demeurera encore et toujours la rencontre avec le vrai, le réel, les vraies personnes. Et même si, il est toujours appréciable de pouvoir s’en évader parfois.

    Le numérique ne doit pas être un substitut de notre monde, mais un outil pour nous rendre plus rapide, plus fort, plus intelligent. Son rôle ne doit pas être de nous crétiniser avec des artifices de jeux vidéos, destinés uniquement à stimuler notre besoin de plaisir et nous refourguer de la pub, même en 3D, mais bien un moyen de nous transcender sans quitter le réel, en s’interfaçant et en s’immisçant avec la réalité, comme il le fait déjà.

  • Wexperience soutient la lecture avec Libre comme Lire

    Si l’on est fan de numérique chez Wexperience, il n’en demeure pas moins que nous pensons qu’il est bon, de temps à autre, de nous éloigner des écrans et de revenir au bon vieux livre pour cultiver notre esprit.

    C’est pour cette raison, que notre fondateur et Président, Olivier Sauvage, a décidé de créer Libre comme Lire, une association de soutien à la lecture.

    Quel est son objectif ? Faire découvrir le travail des associations de promotion de la lecture en France à travers une plateforme Internet de don et d’information.

    Intéressés, par le projet ? Envie de donner un coup demain ? N’hésitez pas à prendre contact avec Olivier Sauvage pour en discuter.

    Bonne journée !

  • Wexperience recherche un(e) UX Designer confirmé(é) pour une mission d’une semaine

    Vous voulez rejoindre notre bande de passionnés, pour créer ensemble, les meilleures expériences digitales. Bienvenue chez Wexperience !

    La mission :

    Dans le cadre du renforcement de notre équipe pour un nouveau projet, nous recherchons un(e) UX Designer confirmé(e). Sous la responsabilité de Greg et Marie, nos super chefs de projet, votre mission principale sera l’analyse vidéo de tests utilisateurs.

    Tout en travaillant en étroite collaboration avec l’ensemble des acteurs des projets qui vous seront confiés 😉

    Vos points forts :

    • Vous bénéficiez d’une réelle expérience dans l’analyse vidéo de tests utilisateurs : analyse des difficultés rencontrées par les utilisateurs, écarter les erreurs d’interprétation 
    • Vous êtes capable de lister, classer et prioriser tous les retours. Également y associer leur gravité et le nombre d’occurrences.
    • Vous êtes capable de proposer des solutions adaptées aux problèmes rencontrés et présenter les retours à votre équipe.
    • Vous êtes à l’aise en conception centrée utilisateur, de la recherche à l’analyse et au prototypage. Vous avez à coeur de procurer aux utilisateurs finaux de véritables expériences à forte valeur.
    • Véritable passionné du digital, de l’UX, de l’UI, réactif, vous faites preuve d’un bon relationnel, de réelles capacités d’analyse et d’écoute avec une touche de créativité.
    • Vous êtes autonome et agissez en responsabilité des projets qui vous sont confiés

    Expérience : vous êtes expérimenté et avez déjà effectué des analyses vidéos de tests utilisateurs.

    Environnement technique : Sketch, Figma, Adobe XD, Adobe Photoshop, Adobe Illustrator, Invision, Vimeo etc …

    Début : ASAP, durée de 5 jours

    Type de contrat : Freelance / Indé

    Rémunération : selon expérience

    Lieu : Lille / Télétravail possible

    Pour postuler c’est par ici  jeveuxunjob@wexperience.fr

    A propos de Wexperience :
    Wexperience est une web agency orientée UX. Depuis 8 ans, nous réalisons des prestations d’accompagnement pour des entreprises du domaine du commerce, de l’assurance, des services tant en UX design qu’en UI Design. Nos clients sont essentiellement des grands comptes et sont situés dans toute la France et à l’international.